La mémoire est une chose communes a tous. Bien que sa fonction soit facilement explicable, son fonctionnent lui, reste insolvable, et aussi propre a chacun. L'oubli lui fait toujours débat sur ses bienfait ou méfait.

Faut-il oublier le passé pour se construire un avenir?

Nous allons voir en premier lieu comment l'humanité gère le maintient le passé pour construire le futur, puis que ce passe-t-il si l'oubli est favorisé.

Depuis la Seconde guerre Mondial, l’État Français défends la mémoire de celle-ci et tente, tant bien que mal d’établir une vérité absolu sur les événement de celle-ci, afin d'évité que le scénario se répète. Il est plus facile d'oublier quelque chose que nous avons fait de mal, mais si l’État Français tente de nous rappeler le contraire. Il est encore impossible pour certain de croire que la France est énormément collaboré a la déportation des Juifs, ou bien même l’existence des Chambre a Gaz, pourtant l’Éducation national nous inculque ces informations, afin d’empêcher la réitération de cette événement tragique.

Subir une défaite n'est pas très gratifiant, et il est plus facile d'oublier pour aller de l'avant.
Les États Unis est le meilleur exemple de le concept de la Cliodynamique. La Cliodynamique est le fait d'essayer de prédire l'avenir grâce au passé, et l'histoire des USA se prête a ce sujet. En effet, depuis 150, les États Unis subit des épisodes de violence de manière récurrente. Depuis 1860, et environ tous les 50 ans, une vague de violence est subit aux États Unis, souvent pour des causes économiques (lorsque les écart “pauvres - riches” sont trop important). Mais certaines théories explique que la mémoire pourrait être la cause annexe de cette violence. Pour résumé, la génération ayant subit l'événement est traumatisé, et transmet se traumatise a la génération suivante, mais celle-ci n'ayant pas été impacté directement ne transmettent pas a la génération suivante qui n'aura pas peur de toutes cette violence et donc rien ne les empêche (moralement) de se battre pour leur raisons personnel. Aujourd'hui, des prémices de violence